Voici, un texte envoyé par W.W.W. sur un sujet que j'ignorais totalement et que je vous diffuse à tout hasard. Je ne sais si, les liens fonctionneront, mais vous pourrez aisément en
savoir plus avec l'adresse. Les journées sont courtes car j'ai à nouveau ma petite tornade. Je vous souhaite une excellente soirée.
De plus, les espèces menacées sont les victimes quotidiennes des chasses menées par les orpailleurs illégaux pour se nourrir et se protéger.
En aval des chantiers clandestins, les rivières deviennent de véritables torrents de boues. L'eau tellement opaque empêche la photosynthèse des algues indispensables à la vie
fluviale.
L'orpaillage illégal condamne également les humains. L'utilisation quotidienne du mercure (interdit en Guyane depuis 2006) par les orpailleurs illégaux pour faciliter la récupération des paillettes
d'or entraîne une forte pollution des rivières. De plus, par leur activité anarchique, les orpailleurs illégaux provoquent la mise en circulation dans les cours d'eau du mercure
naturellement très présent dans les sols amazoniens.
Ce métal toxique s'accumule dans la chair des poissons et contamine toute la chaîne alimentaire jusqu'à l'Homme. Les populations amérindiennes souffrent d'empoisonnement. Des
études réalisées sur les cheveux des enfants ont fait apparaître des taux de mercure 2 fois supérieurs à la norme fixée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
De plus, les villages clandestins qui s'établissent en pleine forêt sont le berceau de trafics d'armes et de stupéfiants, de réseaux de prostitution...
Parce que c'est la demande qui crée l'offre, exigez de l'or tracé dans votre bijouterie!
Pour mettre un terme au trafic d'or illégal en Guyane :
Mais oui, dimanche c'est la St Valentin, ce sont les restaurateurs et les fleuristes qui vont être contents.... N'empêche que cela n'empêche pas de faire un petit
breack pour dire qu'on s'aime. Je sais, il y a le reste de l'année mais on court tellement....
Pour cette occasion, je veux partager un beau poème de Jacques Prévert qui me parle toujours autant, dit par Arnaud Beunaiche, comédien de la Compagnie Emporte Voix. Je l'avais entendu
une fois, récité par Jeanne Moreau : bouleversant, mais malheureusement, je ne l'ai jamais retrouvé. Si l'un d'entre vous est plus malin que moi je ne lui en voudrai pas, loin de là.
J'aurais bien voulu en composer un moi-même, mais je n'ai pas le talent de Korielle, alors je me contente de recopier celui qui parle toujours autant à mon coeur et je le partage avec vous.
En n'oubliant pas ceux qui sont seuls ce jour là, je pense aussi à eux...
Je vous souhaite d'ors et déjà un excellent W.E.
Cet amour
Si violent
Si fragile
Si tendre
Si désespéré
Cet amour
Beau comme le jour
Et mauvais comme le temps
Quand le temps est mauvais
Cet amour si vrai
Cet amour si beau
Si heureux
Si joyeux
Et si dérisoire
Tremblant de peur comme un enfant dans le noir
Et si sûr de lui
Comme un homme tranquille au milieu de la nuit
Cet amour qui faisait peur aux autres
Qui les faisait parler
Qui les faisait blêmir
Cet amour guetté
Parce que nous le guettions
Traqué blessé piétiné achevé nié oublié
Parce que nous l’avons traqué blessé piétiné achevé nié oublié
Après INVECTUS, j'ai à nouveau
l'occasion de parler de MANDELA et cela me réjouit car je respecte beaucoup le parcours de cet homme. Il y a 20 ans, Nelson Mandela était enfin libéré. En effet, le 2
février 1990, le dernier chef d'état de l'apartheid Frédérik de Klerk décida de libérer les prisonniers politiques, ce qui permit à Nelson Mandela de retrouver la liberté, le 11
février 1990, après 27 ans de prison. Il reprit aussitôt la lutte contre le racisme. Cette libération donna lieu à une liesse et une ferveur sans précédent , accompagnées par des
chants de libération car, elle représentait une ère nouvelle de droits pour les Noirs En revoyant cet homme droit et souriant, sorti de la geôle du racisme, ils sentaient
que leur libération était toute proche et que c'en était fini du règne de la minorité blanche..
En effet, la libération de Mandela a provoqué définitivement la chute de l'apartheid et imposé la démocratie en Afrique du Sud, tout ceci pacifiquement, quand quatre ans après, il gagna les
premières élections libres d'Afrique du Sud.
Que reste t-il de tant d'espoir et d'optimisme, 20 ans après ?
Le positif d'abord : les lois ségrégationnistes ont été abolies, la démocratie multiraciale confortée, et le pays profite d'une constitution des plus ouvertes.Depuis 1994, le parti de Mandela a
remporté facilement chaque scrutin.L'ancienne opposition contre le régime blanc pratique la réconciliation et parvient même à rassurer les hommes d'affaire.,ce qui a favorisé une forte
croissance, permettant à l'Afrique du Sud d'être un leader économique du continent et financer ainsi des aides sociales dont profitent actuellement 13 des 48 millions de Sud-Africains.
Le négatif car il y en a malheureusement ; les exclus de l'ancien régime ne sont guère plus favorisés aujourd'hui. La plupart d'entre eux, continuent à connaître le chomage et la misère et
ce malgré une classe moyenne noire qui monte. Plus grâve encore, les différences ne cessent d'augmenter.En effet, le revenu moyen pour les noirs a augmenté de 37 % environ depuis
1994 face à celui des blancs qui affiche près de 83,5%
Tout ceci pour vous dire que ce soir un portrait lui est consacré à la télé "Nelson Mandela au nom de la liberté" à 22 H 50 sur la 2. Je sais, c'est tard pour ceux
qui travaillent mais j'espère que vous aurez un magnétoscope...
C'est intéressant car en France il n'y a jamais eu de film sur Mandela. Par exemple, on ignore souvent que son parcours a été influencé par un autre qui prônait la désobéissance et la
non-violence : Gandhi.
C'est un documentaire chronologique, qui fait appel aux témoignages de ceux qui l'ont connu (habitant le même village) accompagné (tels ces détenus) ou combattu.(Frédérik de
Klerk).
Nelson Mandela
Ce qui m'inspire un profond respect chez cet homme c'est sa tolérance et son sens du pardon. Je ne sais pas si, dans les mêmes conditions de vie, nous en
aurions été capables.
Quelque soit votre décision, je vous souhaite une agréable soirée.
Oui, bien sûr, pendant que je vous racontais la Polynésie, la vie continue et j'ai eu l'occasion de voir quelques films qui passent encore et dont j'ai envie de vous
parler.
Le dernier "OCEANS" est justement une plongée au coeur des "océans". C'est un documentaire de Jacques Perrin (qui nous a habitués à de beaux films pris sur le vif
notamment "le Peuple migrateur") et de Jacques Cluzaud
Océans nous fait rencontrer les beautés secrètes d'une faune encore sauvage.
Cela n'a pas été sans mal. Deux ans de préparation, quatre ans de tournage, 75 expéditions menées de l'Arctique à l'Antarctique et des centaines d'heures de plongée pour accéder à ce paradis
marin.
"C'est quoi l'océan "? demande Lancelot le fils de Jacques Perrin, au début du film. La réponse se trouve dans un magnifique voyage dans le secret des cinq océans du globe, nous voguons
de la Californie à la Polynésie, des îles Galapagos à l'Indonésie.
Nous découvrons tour à tour la splendeur d'un ballet de méduses ou la colonne d'argent d'un banc de poissons qui tourne indéfiniment.... des poissons qu'on croit sortir de la préhistoire, des
baleines etc on ne s'en lasse pas....
Tout n'est pas paisible dans ce film même si on nous prévient qu'aucun animal n'a souffert pour les causes du film, on n'est pas dupe et on comprend très bien que les images dures sont extirpées de
documentaires étant déjà vus et revus....
Invictus
Un autre film qui m'a interpellée.
Le film de Clint Eastwood qui retrace l'aventure de Mandela (magnifiquement interprété par Morgan Freeman) avant et pendant le Mondial 95 de rugby.
On comprend vite dès les premières images. Des petits blancs jouent au rugby sur une belle pelouse bien verte et de l'autre côté de la route, sur un terrain vague jouent des petits noirs.
L'Apartheid sévit dans cette Afrique du Sud des années 90. Et même dans le sport. Tout le film nous amène à comprendre le but visé par Nelson Mandela : que son pays s'unisse autour
d'une équipe et d'un sport "une équipe, une nation" ne cesse t-il de dire. INVICTUS parle beaucoup de rugby bien sûr, mais c'est aussi une reconnaissance du leader sud-africain Mandela qui invoque la liberté et le pardon. emprisonné durant 27 ans;
Il refuse d'imiter la haine des blancs pendant l'Apartheid et parie sur le sport pour unir les blancs et les noirs autour de l'équipe nationale de rugby : les Springboks, et ce malgré les
résistances de toutes parts. Pari fou, car le rugby sud-africain est au plus bas avant cette Coupe du monde sur son sol d'autant plus qu'il est affaibli par le boycott des autres
pays.
Et c'est un remarquable exploit que vont réussir François Pienaar et ses équipiers en remportant la coupe.
Les scènes de rugby m'ont paru brutales pour une néophyte comme moi (on est aux premières loges) mais le symbole c'est cette réussite envers et contre tout et le message qui s'en dégage, au son
de l'hymne national sud-africain. L'Afrique ne triomphe pas seulement des néo-zélandais mais c'est aussi une belle leçon de tolérance.
J'ai aussi vu dans un tout autre registre " une petite zone de turbulence" avec Miou Miou et Michel Blanc cela détend, et le message final de ce film c'est que la famille
parfaite n'existe pas et ma foi cela fait du bien de le savoir quoiqu'on le savait déjà...
A présent, ménage, lavage repassage, car la petite tornade est partie et je vous souhaite une excellente soirée.
Je ne sais si le lien fonctionnera mais sinon, il suffit de retaper l'adresse pour voir la bande annonce de ce film. En effet, il faut qu'un maximum de personnes
regarde la bande annonce dans les trois jours à venir. Même si on ne le visionne pas complètement, c'est le nombre de visites dans les trois jours à venir qui fera le poids, bien sûr le voir est
encore mieux.
Bien sûr que j'ai le coeur gros en pensant à tous ces habitants des iles tellement serviables et gentils en espérant que rien d'irrémédiable ne leur
arrive. En sachant toutefois, qu'ils sont très fatalistes et pensent sans cesse aux cyclones, ils en sont tout à fait conscients de ce danger cyclique qui rôde.
Donc,dernier périple à RANGIROA où nous sommes restés trois jours.
Situé à 350 Km au N.E. de Tahiti, (1 Heure de vol) RANGIROA (plus de 2000 habitants) est le plus grand atoll
polynésien et l’un des plus vastes du monde (1640 Km2 de superficie), 80 km de long et 30 km de large. Vient de Rai’roa « grand ciel ». C’est également un atoll bien accessible avec
son aérodrome et ce gigantesque lagon communique avec l’océan grâce à ses deux passes AVATORU et TIPUTA, bordées chacune par leur village que relie une route goudronnée en son milieu. Route que nous avons parcourue dans ses moindres recoins en ayant loué une petite voiture...... Il faut
savoir que l’aéroport est situé à égale distance des deux villages et un embarcadère situé côté lagon permet dès l’arrivée de prendre contact avec un magnifique paysage qui vous
éblouit...
Des vestiges lithiques, des fosses à culture, des marae prouvent que RANGIROA fût peuplé autour du Xe siècle de notre ère.
Mais il fallut attendre 1851 pour voir les européens « des missionnaires » s’y installer. Ceux-ci plantèrent les cocotiers et permirent aux habitants de
participer à l’économie coloniale.
Aujourd’hui, le coprah est supplanté par le tourisme et la production perlière.
Dans les passes, on peut plonger pour observer les coraux et les poissons, mais il faut se méfier du courant. Vaut mieux être accompagné d’un guide qui connait
bien les coins et grâce à qui nous avons fait connaissance avec le requin nourrice, tout blanc qui ne se nourrit que de plancton mais quelle frousse quand on se trouve nez à nez avec mais
il est totalement inoffensif...je vous le garantis...
RANGIROA est superbe pour les visiteurs passionnés de plongée sous-marine pour l’observation de requins et raies manta (mon homme) et ceux qui aiment une vie simple proche des éléments (moi). Il faut savoir se contenter de la vue de vastes espaces marins qui gagnent encore en
profondeur au soleil couchant, ou levant....
Les pluies étant plutôt rares par ici, et le sol peu perméable, leur principale préoccupation est donc de stocker l’eau de pluie dans des
citernes .Donc, les maisons privées disposent de leur citerne d’eau douce, notre hôtel par exemple possédait une station de désanilisation et de purification, couteuse certes mais leur
assurant leur indépendance en subvenant à leurs besoins.
Le manque de terre végétale et la pénurie d’eau rend les cultures difficiles, seules poussent les fleurs (tiare gardenia hibiscus) mais les cocottiers
s’accomodent de ce milieu aride.
Aujourd’hui, RANGIROA est essentiellement une destination mer-soleil.Je n’ai jamais vécu autant en symbiose avec la nature qu’à Rangiroa levée tôt pour les levers
de soleil, ballade sur les plages et paysages simples mais somptueux, ponctuée de repas simples dans des petits restaus.
Voyage qu'on n'est pas près d'oublier, et notre rêve serait à présent lesMarquises, j'attends de gagner au loto...encore faut-il que je joue.
Voilà la ballade est terminée en espérant ne pas avoir été trop longue et vous souhaitant un excellent W.E.
Avec un peu de retard, je vais vous parler des « marae » anciens lieux sacrés, inséparables de la
culture polynésienne. Ce sont des sanctuaires de plein air construits par les dieux et ancêtres déifiés où se déroulaient des cérémonies religieuses. Parfois, ils étaient construits par des
familles (au sens large) ayant des ancêtres communs, qui jouaient un rôle important et étaient hiérarchisésà l’image de la société
traditionnelle.
Les plus imposants étaient les marae nationaux, ceux sur lesquels avaient lieu des sacrifices humains et qui appartenaient au chef suprême (an ‘î nui) de
l’ile.
Les plus modestes étaient les marae ancestraux construits par chaque famille sur ses propres terres.
On voit beaucoup de « unu » sculptures en bois ornées de motifs géométriques anthropomorphes et zoomorphes qui représentaient sans doute les familles
affiliées au marae et bien sûr les tikis censés garder ces ensembles.
Les murs étaient formés de deux parements et d’un blocage de cailloux et de terre, souvent ce sont des parements de type côtier composé de pierres ovoides posées
sur un soubassement de dalles.
Dans « le fare » à proximité vivaient la famille, et là avaient lieu les grandes décisions, par exemple désigner celui qui était sacrifié pour aller à
la guerre...
Ce sont des lieux respectés et entretenus en Polynésie. Bientôt nous irons à RANGIROA. En attendant je vous souhaite
une bonne soirée.
Je vous présente enfin, les fameux tikis.Tiki désigne « le fils du soleil » considéré par les polynésiens
comme leur ancêtre mythique.
Ils sont à la base de l’art marquisien, on les trouve partout de toutes les tailles, même sur les dos... car l’art du tatouage s’en est inspiré et les a
restitué.
Ce sont des statues de bois ou de pierre à tête large presque rectangulaire qui s’appuie directement sur les épaules. Leur visage souvent austère est mangé par de
grands yeux circulaires et leur bouche qui est formée de plusieurs reliefs figurant les lèvres et la langue (Je n’ai pas vu de dents) traverse tout le bas du visage. L’ensemble donne une
impression de puissance et de certitude.
Dans certaines marae (lieux de cultes ancestraux) on trouve souvent des tikis sculptés à l’effigie des dieux pour en garder l’accès. Ils incarnaient la
présence divine lors de cérémonies sacrées.
Qu’on les représente en sculptures de bois ou en statues géantes en pierre volcanique, ces formes brutes épurées et stylisées restent des objets inquiétants qu’il vaut mieux ne pas déranger, car sensées être douées de pouvoir surnaturel.
Moi, je leur parlais pour les amadouer mais elles me paraissaient peu aimables....
En espérant que vous n’êtes pas trop endoloris par le froid, je vous souhaite une bonne soirée.
Demain, je vous parlerai des marae et celui ou celle qui me demande ce que c’est c’est qu’il ou elle n’a pas suivi...
Nous voici enfin au Tiki Village. Il s’agit d’une reconstitution d’un village polynésien d’autrefois, créé par Olivier Briac, un français. En effet, ce dernier
arrivé il y a une vingtaine d’années se désolait de ne trouver que décors faits pour le touriste et rien de vraiment authentique.
On nous a d’abord expliqué qu’un repas traditionnel polynésien nous attendait avant le spectacle appelé « tamaraa » car c’est avant tout la fête. Les
mets sont préparés plusieurs heures et cuits dans le four creusé à même la terre. Au fond du trou, des branches sêchées et des galets. Le feu va porter les pierres à une température très
élevée. Quand le bois est consumé, le four est prêt. Les ingrédients coupés sont déposés dans le feu sur des clayettes et couverts de feuilles de banane ou cocotiers , et de sacs de jute
détrempés puis de sable. Ils cuisent ainsi à l’étouffée au moins 3 – 4 heures à la chaleur des roches.
Enfin, (et c’est ce à quoi nous avons assisté) on ôte la couverture du four pour découvrir le repas fondant à souhait qui nous attend et qu’on s’apprête à
déguster (cochon de lait poulet, poissons et fruits (papayes bananes etc) arrosés pour une fois avec des pichets de vin (car le vin est très cher ici).
Ensuite, on a une démonstration de paréos. Le « pareu » se confond ici, avec une façon de vivre... Les « pareus » ici, sont également portés
par les hommes. En court, c’est une tenue de travail, en long c’est pour flemmarder chez eux.
Enfin, nous assistons au spectacle. Impressionnant. Particulièrement, la danse du feu. Ils sont une quarantaine d’artistes à nous conquérir avec leurs chants
mélodieux et leurs danses parfois endiablées.
Le lendemain, nous y sommes retournés en plein jour, mais la magie opère toujours, ici on nous explique comment on met en valeur le nacre des coquillages, là on
nous explique le sens des danses ou mélodies, il faudrait rester au moins une semaine pour comprendre les légendes de ce pays.
Nous finissons avec une sortie en pirogue accompagné d’un beau jeune homme (3e prix de Monsieur Muscle...) qui nous a enmenné visiter une ferme
perlière et nous a expliqué la culture de la perle.
J’ai eu droit à une bague qui a d’ailleurs une histoire...En effet, je fuis les grandes bijouteries, c’est pas mon truc et on ne se refait pas. Il y avait là une
jolie mais petite boutique avec bien sûr de belles perles, on pouvait choisir sa bague (en or blanc pour moi) et monter la perle choisie .
Et cette perle, est tombée de son support quelques mois après. Là, j’ai regretté de ne pas avoir fait appel à un
grand bijoutier certaine qu’on n’allait pas faire grand chose pour moi. A tout hasard, j’ai tout de même envoyé un petit mail expliquant mon problème. On m’a demandé de la renvoyer, ce que j’ai fait, mais pas trop rassurée. Elle a mis 3 semaines pour arriver à bon port, car entretemps
il y avait la grêve de la douane et encore 15 jours pour revenir. De temps en temps, j’avais un mail me disant d’être confiante....C’est aussi ça la Polynésie...
Têtue comme une alsacienne, j'aime la nature sous toutes ses formes et essaie de la respecter au maximum ainsi que les animaux,ma devise "la liberté de l'un s'arrête là où commence celle de l'autre" et je déteste l'hypocrisie