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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 18:27

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Quelques barques bien spécifiques qui sentent bon les vacances.....qui sont loin encore et le soleil, on l'invoque comme un rêve inaccessible sauf bien sûr pour les heureux habitants du midi.

Quelques nouvelles aussi. Mon homme a passé "avec brio" tous ses examens et il est declaré "apte" pour la greffe. L'attente n'est pas finie pour autant, mais le dossier va être envoyé d'ici peu c'est un peu complique car et il y aurait beaucoup à raconter...l'hopital a de moins en moins de moyens et donc prend du retard. Le tout c'est de pouvoir joindre la gastro car c'est notre fil conducteur, encore faut il qu'elle soit un petit peu disponible car elle est surbookée.

Bref, attendre, à chaque jour suffit sa peine, et éviter toute complication, ce qui est plus facile à dire qu'à faire car il ne maitrise pas.

Par ailleurs, je vide "un peu" la maison  qui en principe doit se vendre cette année. Et ce n'est pas facile non plus car une foule de souvenirs, heureux la plupart, reviennent à la surface.Mais attendons l'acheteur, car parait-il cela se vend très mal. De toutes façons, comme on ne peut rien prévoir, on laisse les évènements se dérouler à leur guise. Sinon, je suis toujours sur l'ancienne formule d'Over-blog car je n'ai pas le temps de m'occuper du changement, pour l'instant ils ne m'ont pas virée sinon je serais triste de vous perdre...Une bonne soirée à tous.

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 18:41

 

 

 

Il pleut ! Alors pour se changer les idées j'ai entrainé ma moitié voir "LINCOLN" et ma foi, pas de regrets. Tout le monde sait qu'il traite de l'abolition de l'esclavage voulu par le 16e président des Etats-Unis incarné par un acteur prodigieux Daniel Day-Lewis et que son auteur est Steven-Spielberg.

Abraham Lincoln est sans doute le président le plus respecté des Etats-Unis, celui dont la mort a cloué le bec à ses détracteurs. Car il est devenu un mythe,  après son assassinat en avril 1865.

Ignorant volontairement les affres des champs de bataille et évitant de retracer fidèlement sa vie, Spielberg s'est arrêté aux derniers mois tumultueux du  président et de sa lutte pour arracher le vote favorable à l'abolition de l'esclavage, alors que le pays était toujours encore en proie à la guerre civile sudistes et nordistes.

En effet, les Etats-Unis traversent la plus grande crise de leur histoire, et il n'a qu'une idée fixe : unifier le pays et abolir l'esclavage.

On suit un Lincoln volontaire courageux, tolérant, officiant  dans les couloirs du congrès, ou  recevant ses pairs dans son cabinet d'études avec une seule idée : convaincre.

Ce qu'on perçoit aussi, c'est que derrière ses grandes idées et ses décisions politiques évolue un homme simple, qui ne semble pas toujours s'entendre avec son épouse, mais bon père, qui aime bien jouer avec son fils tout en se  remettant mal de la perte récente d'un autre ce qui l'amène à interdire toute incorporation volontaire de son dernier qu'il ne veut pas perdre...

Finalement à force de dialogues, et de persuasion la proclamation qui émancipe les esclaves sera rédigée et rendue effective par la signature du 13e amendement.

Malheureusement, il ne pourra pas terminer son mandat puisqu'assassiné à la fin de la guerre de sécession suite à un complot.

Daniel Day-Lewis ressemble à s'y méprendre à  Abraham Lincoln, qui était très grand (1,93 m).L'acteur irlandais par son jeu criant de vérité nous fait toucher du doigt la personnalité de ce grand homme avec ses convictions. mais aussi ses doutes. D'autres bons acteurs comme Tommy LeeJones, Sally Field ou Joseph Gordon-Levitt viennent  soutenir ce beau  film.

Ce qui m'a fasciné c'est ce microcosme bourdonnant d'une fourmillière politique où se cotoient Républicains et Démocrates avec leurs failles, leurs travers ou leurs valeurs. Deux mondes qui se déchirent entre des discours généreux et des pensées beaucoup moins glorieuses comme celles de l'intolérance.Un monde d'arrivistes, de corrompus mais aussi parfois de progressistes ayant une certaine éthique bref, le monde n'a pas changé...

C'est un film qui bouge malgré ses lenteurs, qui bouscule et qui intéreresse malgré sa longueur (2 H 30 je crois).

Il faut entrer dans le film s'y intéresser un peu comme quand on regarde un documentaire et la magie opère....

On sort de là et on n'a qu'une envie c'est de reprendre l'histoire en la relisant.....

En espérant vous avoir donné envie d'aller le voir ou de susciter des commentaires je vous souhaite une bonne fin de semaine.

 

 

 

 

 

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 18:36

 

 

Mais oui, cinéma encore ! Vous pensez bien qu'en 3 semaines, je n'ai pas pu m'en empêcher. En vacances, j'ai vu "les saveurs du palais" que beaucoup d'entre vous ont vu, ma fois, savoureux.... et après 3 semaines de beau temps, retour et que trouvons nous ? de la pluie, encore de la pluie...

Cela ne fut donc pas difficile de trainer ma moitié voir "tous les espoirs sont permis" de David Frankel avec notamment Meryl Streep (que j'adore) et Tommy Lee Jones.

Cela traite de l'usure du couple,  car Kay et Arnold cinquantenaires, au bout de trente et un an de mariage n'ont plus grand chose à se dire ni faire....Ce qui désespère Kay qui va entrainer son mari chez un sexologue (Steve Carell) afin de renouer le dialogue "comme avant".

Sujet juste car les les mamies et papys-boomers qui ont connu la libération sexuelle ne sont pas prêts d'y renoncer quand la libido est en berne. D'autant plus que les aides médicamenteuses existent.

Mais, et c'est là que le sujet est intéressant, il revèle qu'à la source existe le plus souvent un manque de communication,une routine ennuyeuse, un manque de fantaisie.

Alors espoir ou désespoir ? Est-il trop tard.?  Vous le saurez en allant le voir. On ne s'ennuie pas, c'est souvent drôle malgré quelques longueurs et on peut en discuter après.

A présent, j'attends le soleil....mais si la semaine prochaine, car le terrain attend, les feuilles surtout. Et j'irai vous lire aussi. En attendant, une bonne semaine avec un temps doux si possible.

 

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21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 18:11

 

Quelques portes-fenêtres et volets plus tard et aussi parce que je commençais de rêver de lasure la nuit, j'ai fait une pose mercredi alors que ce n'était pas vraiment indiqué (on part demain) mais parfois c'est salutaire et ma foi ça m'a remis d'aplomb même si le film était triste....

Il s'agit de quelques heures de printemps de Stéphane Brizé avec Vincent Lindon, Hélène Vincent, Olivier Perrier et Emmanuelle Seigner. Un film émouvant,voire bouleversant qui dure presque deux heures mais on ne s'en aperçoit pas et on ne s'ennuie pas malgré les lourds silences qui sont autant de maux et de mots étouffés, de souffrance cachée.

Vincent Lindon y joue le rôle d'Alain la cinquantaine, qui vient de sortir de prison et n'a d'autre recours que d'aller retourner vivre chez sa mère. Cohabitation houleuse, rien ne va entre ces deux là, on sent une violence larvée, une tension sous-jacente perpétuelle entre ce fils rancunier et cette femme (Hélène Vincent)  rigide et obsessionnelle de la propreté.

Puis il tombe sur un contrat signé par sa mère avec une association suisse, et qui n'est rien d'autre qu'un contrat avec la mort mais une mort programmée et assistée car, et il l'apprend en même temps, elle souffre d'un mal incurable et se sait condamnée.

Bien sûr ce film plaide avant tout la cause d'avoir le droit de mourir dans la dignité. Il pose très justement le problème car il y a bien sûr à présent, l'autre alternative, les soins palliatifs, l'accompagnement de personnel qualifié et des médicaments qui enrayent la douleur mais jusqu'où ? Je reste persuadée que certaines maladies trop invalidantes, trop souffrantes méritent qu'on les stoppe net tant qu'on a encore le temps de le décider soi-même et ne pas laisser ses proches assister impuissants à une lente agonie.

Mais ceci n'est que la trame de fond, la vraie question c'est  à partir de quand ces deux êtres meurtris vont enfin pouvoir dépasser leurs blocages, leurs rancunes pour exprimer  leurs sentiments. Est ce que cet évènement douloureux et inexorable va leur permettre de se parler enfin avant qu'il ne soit trop tard.

Ils y parviendront enfin mais que de gâchis, de temps perdu. C'est malgré tout une histoire d'amour avec des rendez-vous ratés mais ils finiront par se rejoindre.

C'est un film fort, une histoire qui vous prend et vous poursuit, ses silences me poursuivaient encore le lendemain, en tout cas c'est une belle histoire pas morbide, n'hésitez pas.

Nous partons demain, vers l'inconnu beau pas beau ? meilleure santé état stationnaire ? Ainsi va la vie le tout c'est d'avancer à petits pas mais d'avancer.

Et n'oubliez pas de dire à vos enfants ou parents ou très proches que vous les aimez, c'est le message de ce film. A bientôt.

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 11:55

L'orgue de barbarie

Jacques Prévert/Joseph Kosma

 

 

Moi le joue du piano
disait l'un
moi le joue du violon
disait l'autre
moi de la harpe moi du banjo
moi du violoncelle
moi du biniou...moi de la flûte
et moi de la crécelle
Et les uns les autres parlaient parlaient
parlaient de ce qu'ils jouaient.
On n'entendait pas la musique
tout le monde parlait
parlait parlait
personne ne jouait
mais dans un coin un homme se taisait:
"et de quel instrument jouez-vous monsieur
qui vous taisez et qui ne dites rien?"
lui demandèrent les musiciens.
"Moi je joue de l'orgue de Barbarie
et je joue du couteau aussi"
dit l'homme qui jusqu'ici
n'avait absolument rien dit
et puis il s'avança le couteau à la main
et il tua tous les musiciens
et il joua de l'orgue de Barbarie
et sa musique était si vraie
si vivante et si jolie
que la petite fille du maître de la maison
sortit de dessous le piano
où elle était couchée endormie par ennui
et elle dit:
"Moi je jouais au cerceau
à la balle au chasseur
je jouais à la marelle
je jouais avec un seau
je jouais avec une pelle
je jouais au papa et à la maman
je jouais à chat perché
je jouais avec mes poupées
je jouais avec une ombrelle
je jouais avec mon petit frère
avec ma petite sœur
je jouais au gendarme
et au voleur
mais c'est fini fini fini
je veux jouer à l'assassin
je veux jouer de l'orgue de Barbarie."
Et l'homme prit la petite fille par la main
et ils s'en allèrent dans les villes
dans les maisons dans les jardins
et puis ils tuèrent le plus de monde possible
après quoi ils se marièrent
et ils eurent beaucoup d'enfants.
Mais
l'aîné apprit le piano
le second le violon
le troisième la harpe
le quatrième la crécelle
le cinquième le violoncelle
et puis ils se mirent à parler parler
parler parler parler
on n'entendit plus la musique
et tout fut à recommencer!

 

 

Pas très moral cette histoire.... Je préfère la mienne.

 

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J'étais tranquillement entrain de cuisiner dans ma petite maison en vacances  à Agde,  quand une musique ou plutôt un son que j'adore attira mon attention. En effet, j'aime bien ces airs désuets sortis d'un instrument qui me parle, je ne sais pas pourquoi mais j'aime bien, le temps s'arrête un peu de courir.Et puis, quelques minutes après, une jolie voix accompagna la musique, en interprétant des airs anciens mais connus style "frou frou" etc.

Je me suis donc rendue là d'où la musique partait, ce n'était pas bien loin, la rue à côté. Il y avait là un couple fort bien assorti qui jouait à nous distraire. Et alors, me direz vous, des scènes comme ça il y en a plein, en effet surtout durant l'été, cela distrait les touristes. Bien sur, sauf que la jolie dame n'avait rien à voir avec le monsieur. Comme moi, quelques temps avant, elle s'était arrêtée à l'écouter jouer, et comme, contrairement à  moi (qui chante comme une casserole) elle était douée d'une voix fort agréable, elle n'avait pas pu s'empêcher d'accompagner ces airs anciens et ils firent, du coup, un petit duo pour notre seul plaisir. C'est le genre d'histoire que j'adore, le temps qui s'arrête.... deux passions qui se rapprochent.

C'est aussi à ce genre de scènette que j'aime bien repenser pendant que je lasure, portes, fenêtres et que je n'en voie pas le bout surtout qu'il faut bien poncer avant. (C'est pour cette raison que j'ai du mal à venir par ici...) Pendant ce temps là, mon homme peint les volets.... et va mieux. Lentement mais sûrement.Merci pour vos gentils mots. 

Je vous souhaite un bon dimanche et que le temps reste au beau le plus longtemps possible. Je viendrai vous faire un petit coucou entre les couches de lasure.

 

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13 juillet 2012 5 13 /07 /juillet /2012 12:54

Agde-octobre-2011-010.JPG

La trouverons nous ainsi ?

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Ou plutôt comme ça ? Peu importe.....

Direction la grande bleue et la chaleur car ici il pleut sans discontinuité.... Je n'ai pas pu déherber comme je le désirais, il pleuvait sans cesse. Pour les enfants c'est dur aussi. Les activités manuelles et les jeux d'intérieur ça va un moment, une semaine morose quoi. 

Donc, en principe à partir de lundi grand soleil mais vu les aléas du wifi sur place, je ne ferai sûrement pas d'article par contre je viendrai vous lire si possible.

En tout cas bonnes vacances pour ceux qui partent, courage pour ceux qui restent et bons souvenirs pour ceux qui sont revenus et à bientôt.

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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 11:53
Encore une semaine que je n'ai pas vue passer. Mais mercredi après-midi pause enfin, avec un film ma foi qui change les idées :  "Adieu Berthe ou l'enterrement de Mémé".
Film de Polydalès avec son frère Denis qui joue le rôle principal. 
Celui-ci pharmacien mais aussi magicien, en fouillant dans la malle de sa grand-mère décédée récemment, découvre des écrits qui révèlent une femme à double facette qu'il ne connaissait pas.
En effet, Armand refuse de grandir lui qui veut plaire à tout le monde, et ainsi s'attire pas mal d'ennuis, lui qui n'arrive pas à choisir entre sa femme (émouvante Isabelle Candelier) et sa maitresse (délicieuse Valérie Lemercier avec ses crises hystériques) il jongle ainsi entre l'une et l'autre.
Film drôle et triste à la fois car il traite d'un sujet grâve : la mort, mais aller à l'enterrement de mémé avec ce qui se greffe autour (notamment l'organisation des pompes funêbres franchement ce n'est pas triste finalement. Ah j'oubliais le talentueux Pierre Arditi le  père qui perd la boule....
Toutefois, sans parler de longueurs, il y avait me semble t-il un rythme inégal entre les gags ou réparties mais on passe un bon moment malgré tout.
Voilà, ici il fait toujours presque froid, pour une fois sans pluie mais nous avons allumé la cheminée....
Je viendrai lire vos articles durant cette semaine, vu la météo le temps me le permettra certainement. En attendant passez un bon dimanche.
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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 16:22

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Voilà une petite réalisation en scrap faite lors d'une crop tout un samedi. Une crop, pour ceux qui ne savent pas, est un regroupement de passionnées de scrap qui sous la houlette d'une animatrice (bienveillante et gentille bien sûr) nous dirigent et conseillent durant huit heures pour arriver à réaliser une "oeuvre"... n'est ce pas ? C'est de l'intensif, on ne chôme pas car tout est réalisé avec nos petits doigts et non acheté mais alors quelles parties de rigolades. Mettez une quinzaines de femmes ensemble croyez moi, il y a de l'ambiance...

 

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Petit oiseau mis en relief et la cage mise en forme.

 

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Une fleur réalisée avec une dosette à café, un peu de dentelle, un petit moule à gâteau en papier, de la mousse, un bouton de bois, une arabesque en lière et une fleur en plâtre résine.

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Autre fleur dont les pétales sont réalisées à partir de pages de livres (récup) coupées en lanières et ajourées, un peu de tulle du fil un bouton.

 

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Une pendule, qui s'ouvre sur deux photos et le canvas derrière s'ouvre également pour dévoiler deux photos cachées (pas encore mises d'ailleurs).

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Et le mini album qui attend patiemment sur son balcon d'accueillir les fameuses photos. Oui mais...il a 20 pages et il faut que cela murisse dans ma tête. Je pense que ce petit mini, je le dédierai à mon père qui n'est plus depuis bien longtemps mais qui est si présent dans mes pensées. 

Une fois terminé, je vous le présenterai mais vous vous lasserez sûrement car il y a beaucoup de pages...

Aujourd'hui temps particulièrement maussade, pour moi propice à ranger les papiers; règler les corvées (declaration d'impôts par exemple) bref un temps à ne pas mettre le nez dehors.

Je vous souhaite néanmoins une bonne soirée.

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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 18:32
Après avoir nettoyé toute une pièce de tomettes et les avoir bien fait lustrer (cela ne se fait pas en une journée...) je pensais avoir mérité mon escapade du mercredi après-midi. Mon amie  m'attendait de pied ferme pour aller voir "Margin Call". J'étais moyennement emballée, j'aurais préféré "le prénom" mais il y aura d'autres occasions.
Il est question de la célèbre crise financière de 2008, mais cette fois on ne suit pas l'histoire des pauvres gens landa qui l'ont subie mais celle des traders, ceux qui sont face à leurs écrans dans leur sphère virtuelle et pourtant ils brassent des milliards.
On assiste aux premières loges à la dernière nuit avant le terrible crack financier.
Le réalisateur J.C. Chandor, dont c'est le premier film, nous fait plonger dans cet univers survolté et impitoyable de Wall Street, dont les profits sont disproportionnés, voire déments et surtout indécents.
On suit le travail déconnecté de la réalité, de ces traders qui face à leur ordinateur, donnent des ordres qui les dépassent à cette machine  qui les enrichit d'abord puis qui s'emballe pour les rattraper  et les ruiner eux et du coup leurs clients.
Ce sont des gens comme vous et moi et surtout pas des méchants mais ils sont anéantis par des situations qu'ils ont eux même provoqué en allant toujours plus loin toujours plus haut.
On ne s'ennuie pas une minute malgré que ce soit  sous-titré. C'est un vrai polar, car y est décrit un univers cruel,impitoyable, c'est la descente aux enfers qui entraine tous ces jongleurs de la finance, jeunes ou vieux mais ce sont avant des personnes avec leur histoire, leurs valeurs dont le destin va basculer.
Franchement, je n'ai pas regretté, mais je me suis sentie minuscule (pour une fois) face à ce roi ARGENT qui nous domine et dont nous dépendons tels des pantins, car je crois que la leçon n'a pas porté et les choses n'ont guère vraiment bougé.
Je vous souhaite un bon dimanche, et quoiqu'il arrive, allez voter .
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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 09:53

 

 

      Que ces petits brins de muguet vous apportent le bonheur, tous ces petits bonheurs simples, le sourire d'un enfant, un beau récit, un bon film une belle musique, une gentille attention, un repas familial etc... Bref, la vie quoi.

Je remets mon article "MAMIE BIGOUDE". En effet j'avais complètement oublié la communauté "douce France" superbement bien gérée par Philae et cela aurait été dommage de ne pas faire connaitre ce restaurant.

 

 

 

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 Oui, enfin un petit entr'acte pour venir vous voir et vous lire (en fin d'après-midi). Semaine bien remplie, non par les travaux que nous avons stoppés ceci pour acceuillir notre miss tornade .

Entre maintes occupations nous sommes aussi allé voir Mamie Bigoude pour faire n'importe quoi. Chez elle, au moins on peut manger au lit ou sur la baignoire, ou près de la douche, les lustres sont des tuyaux de douche ou sont en pelote de laine. Les meubles sont peints en fushia ou jaune soleil, le vert anis métarmophose  les pendules et les coucous. Bref, une mamie comme ça vous voudriez tous en avoir une? Et bien malheureusement ce n'est pas la mienne non plus, c'est un restaurant crêperie situé dans le vieux Tours.

Je l'ai connu grâce à un article chez Monique (dans mes favs) et franchement c'était bon et très abordable.

Ambiance rétro, avec une déco kitch et des couleurs flashy pour les meubles. Environnement surprenant, décor souvent insolite, le service est sympa et convivial, les menus sont présentés sur de vieux PARIS MATCH. Bref, on se croirait dans les années 50.

      Alors on mange dans la chambre

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ou sur la baignoire ?

 

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ou un lavabo suffira ?

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Il est quand même mieux comme ça non ?

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Décor insolite

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ou plein de douceur ....

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Les enfants n'étaient pas oubliés loin de là. Il y a un coin où ils peuvent dessiner ou jouer dans le pigeonnier, sous l'oeil attentif d'une animatrice. Le jour où nous y sommes allés, c'était le thème des pirates, avec une course au trésor. Univers coloré et magique pour les petits qui peuvent s'évader avant ou/et après s'être régalé.

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Des photos il y en a plein encore mais à vous de découvrir cet univers particulier, si vous avez l'occasion de passer à Tours... D'ailleurs, j'ai eu du mal à les faire car il y avait veaucoup de monde et je n'avais pas toujours le recul nécessaire....

http://www.mamiebigoude.fr

Cela vaut le détour, la tornade est repartie enchantée.SORTIES-234.JPG

Je vous souhaite un bon dimanche et à bientôt.

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