C'est marrant et excitant à la fois de rencontrer une "copinaute" en vrai. sur le lieu de ses vacances.(qui plus est, n'a pas de blog, Danielle se
contente de laisser des coms) . On saute le pas, et du virtuel on rejoint la réalité. Et c'est super c'est comme si on s'était toujours connues. En plus, nos époux respectifs se
sont appréciés, inutile de dire que l'on se reverra dans pas longtemps. J'ai constaté que les affinités qu'on ressent dans un blog se perpétuent tout naturellement lors de la rencontre, la
vraie.
Nous avons fêté cette belle rencontre dans un petit restau que j'adore situé à Agde "La Casa Pépé"
Niché au fond d'une cour, on peut le rater, si on ne prête pas attention au flêchage. Il s'est taillé une belle réputation , ici on mange le poisson du jour, car
nous sommes chez un ancien pêcheur, dans un décor authentique et on peut écouter du Brel ou du Brassens en boucle.
Un jour, je ferai un article^pour raconter l'histoire de la casa pépé.
En attendant avec un peu d'avance, mais je profite de l'internet, je vous souhaite une bonne fin de semaine.
Cette petite plage toute simple pour illustrer ce thème suggéré par Philae. Bien sûr, l'idéal c'est tôt le matin elle est quasi déserte, le soleil s'active
tout doucement lui aussi et le monde vous appartient....
OU QUE VOUS SOYEZ, JE VOUS SOUHAITE UN EXCELLENT WEEK-END
Toujours, le même plaisir quand on arrive après 6 H 30 de route, et enfin apercevoir l'imposante cathédrale Saint Etienne située sur les bords de l'Hérault et qui
domine la vieille ville d'Agde.
Soirées souvent animées, concerts de jazz, flamenco, sardinades et concerts gratuits comme celui de Dave ci-dessus
ou bien soirées destinées à la reconstitution historigue de la vieille ville d'Agde sur l'eau....
Détente en mer......
ou étape gastronomique (d'huitres, de moules palourdes, escargots de mer à l'ailloli, crevettes, vous suivez toujours ? Après seiche, ou sole à la
plancha accompagnées du traditionnel rosé...) tout cela au bord de l'étang de Thau où avant d'être mises à l'eau les jeunes huitres sont collées au ciment sur des cordes ....et on
attend qu'elles grossissent pour régaler notre palais.
J'avoue avoir un peu de scrupules à m'étaler sur ces plaisirs pour ceux qui ne sont pas encore en vacances ou en sont déjà revenus... Au fait tous les matins
kiné aie mais on a moins mal au soleil....Je vous souhaite une belle soirée. Ici, il y a beaucoup de vent mais on ne peut tout avoir...
Nous y voilà, face à la grande bleue et ma foi, c'est bien agréable malgré la chaleur, puisque cette fois on ne fait RIEN.
Tapant toujours de deux doigts, je ne ferai pas de longue prose, mais tâcherai de vous rendre visite selon le bon vouloir de la connexion qui n'est pas toujours au
rendez-vous, histoire de ne pas perdre le contact...
En attendant de bonnes journées à vous et surtout beau temps.
Tout d'abord, je vous souhaite un bon lundi chaud mais pas trop pour ceux qui travaillent ou jardinent....
Comme je peine pas mal avec un seul doigt, cette semaine, je vous mets des photos de portes glanées à Pézenas la belle ville chère à Molière. Et j'irai vous rendre
visite petit à petit selon les pauses...car les jumelles sont là et ce n'est pas triste...
Comme je n'ai guère le temps de passer sur les blogs, je partage avec vous des "petits riens" glanés ci et là lors de notre passage à Pézenas et dont je
vous parlerai plus longtemps cet été.
Ces petits riens sont un clin d'oeil à Tiénouz (voir les favs) qui en met souvent de très beaux sur son blog...
En espérant trouver le temps pour vous lire demain je vous souhaite une bonne semaine et aussi une bonne soirée
Pour célébrer dignement le centenaire, le carnaval de Jargeau a fait, pour son deuxième dimanche de parade, honneur
aux orchestres, aux rythmes multiculturels et aux musiciens ,qui au son des tambours et des trompettes ont ravi petits et grands.
Samba et bandas ont accompagné en cadence la fête, animé les rues et fait danser le public enthousiaste. Il faut dire que le temps était complice car exceptionnellement
doux
Dans le cortège bariolé, on pouvait reconnaitre » les bargeots », notre célébrité locale, les grosses têtes,et après, les fanfares laissèrent la place aux gracieuses danseuses qui eurent un franc succès avec leurs jolis
costumes.
Sans oublier les chars « le boeuf gras » en tête, ou « Carnaval repeint Jargeau » ou encore le cortège des miss Mélanie Jade et Margot toute
cette revue défile pour le plaisir de tous, sous les confettis et cotillons, le plaisir étant aussi de transformer son voisin en serpentin...
Après le deuxième passage, reste la traditionnelle fête foraine pour les petits et les cafés pour le
rafraichissement ou le chocolat chaud des plus grands , ingrédients indispensables d’un carnaval réussi.
Bien sûr que j'ai le coeur gros en pensant à tous ces habitants des iles tellement serviables et gentils en espérant que rien d'irrémédiable ne leur
arrive. En sachant toutefois, qu'ils sont très fatalistes et pensent sans cesse aux cyclones, ils en sont tout à fait conscients de ce danger cyclique qui rôde.
Donc,dernier périple à RANGIROA où nous sommes restés trois jours.
Situé à 350 Km au N.E. de Tahiti, (1 Heure de vol) RANGIROA (plus de 2000 habitants) est le plus grand atoll
polynésien et l’un des plus vastes du monde (1640 Km2 de superficie), 80 km de long et 30 km de large. Vient de Rai’roa « grand ciel ». C’est également un atoll bien accessible avec
son aérodrome et ce gigantesque lagon communique avec l’océan grâce à ses deux passes AVATORU et TIPUTA, bordées chacune par leur village que relie une route goudronnée en son milieu. Route que nous avons parcourue dans ses moindres recoins en ayant loué une petite voiture...... Il faut
savoir que l’aéroport est situé à égale distance des deux villages et un embarcadère situé côté lagon permet dès l’arrivée de prendre contact avec un magnifique paysage qui vous
éblouit...
Des vestiges lithiques, des fosses à culture, des marae prouvent que RANGIROA fût peuplé autour du Xe siècle de notre ère.
Mais il fallut attendre 1851 pour voir les européens « des missionnaires » s’y installer. Ceux-ci plantèrent les cocotiers et permirent aux habitants de
participer à l’économie coloniale.
Aujourd’hui, le coprah est supplanté par le tourisme et la production perlière.
Dans les passes, on peut plonger pour observer les coraux et les poissons, mais il faut se méfier du courant. Vaut mieux être accompagné d’un guide qui connait
bien les coins et grâce à qui nous avons fait connaissance avec le requin nourrice, tout blanc qui ne se nourrit que de plancton mais quelle frousse quand on se trouve nez à nez avec mais
il est totalement inoffensif...je vous le garantis...
RANGIROA est superbe pour les visiteurs passionnés de plongée sous-marine pour l’observation de requins et raies manta (mon homme) et ceux qui aiment une vie simple proche des éléments (moi). Il faut savoir se contenter de la vue de vastes espaces marins qui gagnent encore en
profondeur au soleil couchant, ou levant....
Les pluies étant plutôt rares par ici, et le sol peu perméable, leur principale préoccupation est donc de stocker l’eau de pluie dans des
citernes .Donc, les maisons privées disposent de leur citerne d’eau douce, notre hôtel par exemple possédait une station de désanilisation et de purification, couteuse certes mais leur
assurant leur indépendance en subvenant à leurs besoins.
Le manque de terre végétale et la pénurie d’eau rend les cultures difficiles, seules poussent les fleurs (tiare gardenia hibiscus) mais les cocottiers
s’accomodent de ce milieu aride.
Aujourd’hui, RANGIROA est essentiellement une destination mer-soleil.Je n’ai jamais vécu autant en symbiose avec la nature qu’à Rangiroa levée tôt pour les levers
de soleil, ballade sur les plages et paysages simples mais somptueux, ponctuée de repas simples dans des petits restaus.
Voyage qu'on n'est pas près d'oublier, et notre rêve serait à présent lesMarquises, j'attends de gagner au loto...encore faut-il que je joue.
Voilà la ballade est terminée en espérant ne pas avoir été trop longue et vous souhaitant un excellent W.E.
Têtue comme une alsacienne, j'aime la nature sous toutes ses formes et essaie de la respecter au maximum ainsi que les animaux,ma devise "la liberté de l'un s'arrête là où commence celle de l'autre" et je déteste l'hypocrisie